PREMIÈRE LECTURE COMMUNE
Alain DUBOS - Acadie, Terre promise
Que faisait cet ouvrage dan ma PAL ?
Depuis 5 ou 6 ans je fais des recherches généalogiques. Et depuis environ 2 ans, j’ai retrouvé mes ancêtres acadiens. J’ai donc décidé d’en connaître un peu plus sur cette période de l’histoire, et j’ai commencé par lire deux ouvrages : Histoire du Québec de Jacques Lacoursière et Le retour des Acadiens d’Yves Boyer-Vidal. Lorsque j’ai lancé un appel aux blogonautes pour leurs demander s’ils connaissaient des titres d'ouvrages sur le Canada à me conseiller, plusieurs (dont Sophie) m’ont indiqué Acadie, terre promise, que j’ai bien vite acquis, et qui fait donc l’objet de cette première lecture commune avec Bladelor.
Euh, non, pas tout à fait. Bladelor a déclaré forfait, après un échange de messages entre nous, dans lesquels je lui donnais mes impressions de lecture, pas très engageantes, je dois l’avouer. Si vous ajoutez à ça que l’ouvrage compte 920 pages, et que ma consœur traverse une baisse de régime côté lecture, vous comprendrez que nous ayons décidé que la lecture serait « solitaire » J
Mais je ne lache pas le morceau, je choisirai une autre « lecture commune » un peu plus tard.
Présentation de l’éditeur
De 1695 à 1755, la grande saga de la famille Lestang, de leurs alliés (les Hébert, les Melanson...) et de leurs descendants dans la Nouvelle-France, en Acadie, théâtre de drames, de luttes et d'aventures...
J’attendais beaucoup de ce roman, je l’avoue. Et en priorité, d’en apprendre un peu plus d’un point de vue historique sur cette période.
Or, l’auteur s’attache plus (trop) à décrire la vie de quelques familles partie en Nouvelle France, les difficultés d’installation, d’organisation ; la dureté du climat auquel ils ne sont pas habitués, et qu’ils finiront cependant par aimer. Les descriptions des personnages, familles, corsaires, Micmacs, qui composent cette saga sont intéressantes et riches d’enseignement, mais longues et répétitives.
J’aurais aimé que l’auteur s’appesantisse un peu plus sur les protagonistes, Anglais ou Français, acteurs de cette partie de notre histoire. Qu’il explique plus précisément et plus longuement les faits qui annoncent le Grand Dérangement de 1755.
Quelques critiques chez Le club des rats de biblio.